Car il s'agit bien ici d'achat de communauté dont on parle dans l'affaire LaFraise/Spreadshirt.

Ce n'est pas tant le concept (brillant en soit : édition de tshirt, compétition de graphistes avec des créas) qui est vendu, c'est la masse communautaire. Ce n'est pas sans rappeler la notion de clientèle (dans le cadre d'une profession libérale) ou d'élément de fonds de commerce.Une communauté même virtuelle qui se rencontre virtuellement dans un lieu virtuelle peut constituer l'essentiel de la valorisation d'une entreprise.




Et donc, l'objet de ces mois à venir sera bien de ne pas effrayer cet étrange canard qu'est le membre de communauté. C'est certainement pour cela que le blog est le lieu idéal dans cette configuration et qu'Emmanuel y explique les projets de Spreadfraise